Histoire
Quel guignard pourrait-on penser !
Certes au regard d’un passé émaillé d’une succession de malheurs, d’échecs et de mauvais choix répétitifs, à quelle autre évidence conclurait-on ?..
Comme si son karma jouait avec lui, enlevant les rares petits moments de joies ou de bonheurs peu après les lui avoir fait don, comme une volonté de ne lui laisser qu’une vie de solitude et de tristesse. Avait-il mérité un tel traitement, ses actions « secrètes » avait-elles une si mauvaise incidence pour l’évolution du monde ?
Pour les adeptes de la réincarnation, la mémoire d’une vie humaine ne peux rivaliser avec celle de toutes ses vies antérieures qui construisaient en conséquence son présent destin. Même les plus optimistes sont conscient de la brièveté d’une vie et des souvenirs de souffrances qui peuplent un cœur.
En mettant de côté l’ignorance sur ses vies antérieurs que les adeptes de réincarnations pourrait utiliser comme justificatif, ses activités militaires pourraient elles acquitter cette malédiction, mais le sceau du top-secret limitait à une maigre poignée de personnes capables de répondre à cette question.. Serait-ils bon juges ?
Alors comment expliquer que ce modeste fermier voue un véritable culte à ces épisodes perdues de sa vie et dont seules les instants fugaces de bonheurs partagés continuent à le faire avancer vers un avenir inconnu avec le secret espoir d’un meilleur futur…
Demeurent malgré tout en lui, un doute !.. Car après avoir tant de fois implanté artificiellement des histoires de vies dans des enveloppes vides, petit à petit un doute s’immisçait sur son propre vécu, ses propres expériences, ses émotions et ses rencontres.
Ses souvenirs sont-ils vraiment les siens ou le fruit d’une transplantation ?
Face au monde cataclysmique dans lequel il évolue à grand peine, s’interdisant de révéler la dangereuse révélation au reste de l’humanité. Les hommes ne seraient pas tous issu d’un couple projetant dans une descendance le destin de leur amour. Ne serait-il pas au final que des machines organiques fabriquées auxquelles ont insuffle une vie imaginaire pour stabiliser leur état émotionnelle et les rendre plus manipulable. Cette inquiétante possibilité, l’orgueilleuse humanité ne saurait pas y faire face sans s’autodétruire.
D’autant que tous ses plus anciens souvenirs, ceux de l’enfance et de l’adolescence, étaient recouvert d’un voile de brume et de ruptures dans leurs déroulements. Ce qui semble tout a fait normal depuis l’origine du monde, mais l’était-il ?
Et sans oublier ce « tonton zinzin » qui n’était qu’un célèbre scientifique, en plus d’être un vieil ami de son père, le regardait comme s’il était sa plus belle réalisation. De quoi s’interroger en frissonnant, non ?
Serait-il l’un de ces réplicants, le remplaçant d’un être si aimé dont l’absence fut intolérable et inacceptable pour ses parents ?.. Une pièce de rechange dépourvue de la connaissance même de sa réalité ?...
S’il s’en tient à son histoire, il est né le vingt-trois novembre 2003 dans un petit bourg non loin de Clark, petite ville siège du comté du même nom dans le Dakota du Sud, au sein de l’hôpital où sa mère travailla jusqu’à sa mort.
Enfant sans histoire, il savait se lier facilement avec les autres sans pour autant créer de véritables et solides liens d’amitiés. Un réseau de connaissances sans réelles attaches émotionnelles qui lui octroyait une normalité artificielle, sans fondation solide.
Bon élève, sans pour autant être un crack, Thaufhir possédait deux étiquettes, l’une le faisait apparenté à un de ces petits génies que l’on surnommait « geek », il brillait dans les mathématiques, l’informatique et la physique, sans aller jusqu’à y exceller. La seconde étiquettes, plus people, était le fruit de sa construction physique de fils de fermier, en le rattachant à une équipe sportive, la carte V.I.P. de tout lycéen !
L’honnêteté oblige à reconnaître que le football occupait la majeur partie de sa vie d’adolescence.
Quaterback dans son équipe de lycée, il le fut aussi à l’université en participant à un double succès au N.C.A.A. alors que l’équipe figurait en première division F.B.S. américaine. C’est d’ailleurs grâce à une bourse en cette qualité de footballer, qu’il pu rejoindre la prestigieuse Université de Princeton, en suivant un cursus d’Ingénieur Systèmes aménagé pour les sportifs représentant leur faculté. Sa première année universitaire fût celle de toutes les découvertes plus ou moins bénéfique à sa vie estudiantine, mais elle fut l’une de ces périodes de bonheur auxquelles il s’accrocherait plus tard. L’une de ces brèves rencontres, quoique qu’importante sur les implications qu’elle aurait sur sa tranquillité paysanne espérée, est celle d’un vrai « NERD ».
- Soumis à approbation_Mosquito:
Étrangement, nulle frustration peuplait le seule souvenir qu’il en avait gardé. Un bref tamponnement de deux mondes qui avait jusqu’alors affiché une indifférence et des limites d’appartenances bien affirmées aux yeux de tous.
Alors que ses fréquentations raillaient le gamin brillant tant par son aisance dans les études, que l’ignorance de son existence par sa discrétion, que beaucoup percevait comme arrogance et une attitude hautaine d’un cerveau face ces tas de muscles.
Très vite, il devint l’expurgatoire des échecs des condisciples sportifs de Thaufhir, qui pour la seule fois de sa vie estudiantine s’opposa à ce lynchage social.
« Hé, le hardisk, t’as fais ta mise à jour ?.. Toujours pas de copine ? »
Sans comprendre pourquoi, mais Thaufhir s’interposa entre le runnig-back et le nerd avec un visage sombre et menaçant que personne ne lui connaissait jusque là !..
Il rappela à tous la cruelle vérité d’une société pyramidale, leur célébrité était fragile et éphémère, bientôt le rôle de star seront échangé.
« Cesse de te défouler, picole moins et travaille plus, tu es suffisant malin pour réussir tes examens, car dans quelque années, celui dont tu moques, tu devras l’appeler patron et il pourrait avoir envie de te pourrir la vie... »
Comme une averse glacée, l’ensemble du groupe montra un nouveau visage depuis lors en se contentant d’ignorer les bêtes à concours, du moins en présence de Thaufhir.
Sa seconde année universitaire fut celle de l’isolement, son père venait de décéder et il se retrouvait seul au monde, sans famille et sans racine forte à ses terres natales.
En plus d’une nouvelle attache et point de départ, l’université lui offrait aussi un petit aperçu de ses limites. En effet, il commença ses études dans la même première année que le petit génie qui lui devait sa quiétude sociale. Ce dernier sauta directement en troisième année alors qu’il le devançait déjà de trois années durant leur première année.
Cette fois, la vie lui avait clairement et froidement montré, sans le masque des flatteries courtisanes, le fossé impossible à combler entre lui et un véritable surdoué.
Malgré un décrochage temporaire à sa vie estudiantine, il décrocha son Bachelor es sciences en ingénierie en 2025, mais ne pouvant mener de front étude et carrière sportive, il fit un choix plutôt rare, celui des études.
Ne dit-on pas que derrière tout grand homme, l’ombre d’une femme est la véritable source de l’élévation d’un futur puissant.
La femme dont il s’était épris avait influencé ce choix, bien qu’il s’entêta à toujours nier ce fait.
Toutefois, peu après ce choix peu commun et uniquement de son fait, Thaufhir se mit en ménage avec cette « créatrice de puissant », la belle et intelligente Lydia Summers, qui devint sa raison de vivre.
Trouvant une astuce financière via une bourse militaire, il poursuivi ses études dans le programme des cycles supérieurs en Génie Système Mécano-Biologique. Grace à cette chance, il put prolonger une relation amoureuse qui devint sa nouvelle famille après son mariage avec cette jeune étudiante en médecine, tout en décrochant son Master d’ingénierie système spécialisé.
Au début, un choix définitif de son avenir à long terme ne fut pas nécessaire, la petite famille s’agrandit d’un nouveau membre au printemps 2026, d’une jolie petite fleur. Les yeux innocents de son petit trésor ne demandait que de l’amour en faisant fondre l’ancien ‘rock’ des Tigres en une pâte à modelée, esclave de ce petit démon.
Désormais, deux femmes avaient pris le pouvoir sur sa vie, tout en apportant qu’une seule contrainte, celle d’un bonheur pleinement savouré et accepté.
Obtenant aisément son diplôme supérieur d’ingénierie biologique, sans mention, il s’engagea dans l’armée afin de respecter les clauses de sa bourse militaire.
Par dérogation de sa situation maritale, il fut aussitôt transférer à l’U.S.A.M. alias Westpoint, en intégrant une formation strictement militaire en parallèle du cursus classique. Sans devenir le cadet Halbeck, ses capacités sportives vierges des blessures ordinaires des footballeurs universitaires, couplées à ses brillantes études supérieur à Princeton et son sérieux dans sa formation militaire lui valurent de sortir major de sa promo officieuse.
Ce statut lui valu d’obtenir dès son brevet d’officier en poche d’obtenir le grade flatteur de premier lieutenant. Chose rare et certainement lié avec son affectation dans un laboratoire secret de l’armée de terre. Son parachutage à ce grade tout comme le cursus non-officiel avait un parfum d’entrave. D’autant qu’il était à l’offre faite à sa moitié d’un poste dans la clinique abrité au sein de la caserne attaché à ce laboratoire.
C’est donc en septembre 2029, qu’il entama une carrière militaire en parallèle d’une vie de famille épanouie, en découvrant la face sombre de la grande muette. Thaufhir comprit rapidement qu’il lui faudrait faire un choix, avec une femme et un enfant qu’il fallait protéger.
Soit il optait pour la sécurité d’être un bon serviteur obéissant de l’armée, qui payait bien et avec régularité, mais ne tolérait ni questions ni doutes sur la justesse de ses décisions.
Soit de suivre une moralité et une concordance religieuse en s’extrayant dès que possible de son apparente sécurité financière à la fin de son engagement.
C’est ainsi, qu’à vingt-sept ans et une mutation à El Loco, que ce bon papa gâteau fût l’un des assistants d’une des pointures des transferts de mémoire sur réplicants. Faisant tout pour oublier qu’il élaborait des systèmes d’introductions de souvenirs pour cloner de bon petit soldat à la chaîne, il se réfugiait dans son petit clan.
Bien sûr, certain d’avoir fait la rencontre de sa vie et la justesse de ses choix qui le conduirait à un avenir radieux, il n’avait pas anticipé un futur bouleversé.
Engagé pour cinq ans, si l’on ne tient pas compte des trois années de réserve. Son avenir était tout tracé, surtout en ayant la sécurité de son clan à l’esprit pour unique priorité, jusqu’à se rendre coupable de l’impensable...
Le Karma ou la destinée selon vos croyances avait décidé de stopper cette déviance scientifique.
Dans une nuit pluvieuse du printemps 2032, Lydia fut renversée par une voiture sans plaque. Sans arrivée à joindre le service d’urgence, Thaufhir porta la moitié de son cœur sans réussir à rompre la volonté de la faucheuse. Cette perte brisa la douce berceuse du bonheur mérité et confondu un temps comme son paradis terrestre.
Sa femme avait une vision moins lumineuse de cette vie au service de la nation, gardant pour elle la découverte d’une aile où les échecs des expériences finissaient en cobayes pour des essais thérapeutiques peu au goût de cette médecin passionnée.
Veuf, avec un enfant en bas âge qui ne comprenait pas pourquoi son père s’enfermait dans sa chambre pour pleurer, retardant sans cesse la révélation d’une réalité trop cruelle pour une enfant.
Sa petite fille habituée aux longues absences de sa mère pour le travaille n’avait pas encore compris, qu’une peine abyssale allait entraîné son univers dans une fuite vers l’oubli de soi pour une ardente et constante douleur. Plus jamais, leurs visages respectifs afficheraient un sourire, l’expression d’une joie et d’une bonheur pour toujours disparus.
La gaieté autrefois norme du foyer s’était transformer en une relation distante d’un père ultra protecteur et de sa fille mélancolique.
Alors que le bonheur du passé ne posait aucune réflexion sur son avenir, désormais l’abîme généré par cette perte interrogeait sur le but à leurs existences.
Ayant accompli son service tout en restant réserviste, Thaufhir quitta l’armée pour acheter une ferme en Alabama, qui avait entamé un virage technologique afin de moderniser sa production via les dernières techniques agricoles. La nature consola partiellement l’affliction de cette recomposition familiale sans pour autant ramener l’allégresse d’autrefois.
Trois années passèrent avec des hauts et des bas, mais comme une répétition des réincarnations, la guigne vint sonner une seconde fois à la porte du modeste fermier.
Celui qu’il avait appelé de toutes ces prières de lui rendre sa femme en effaçant ce qui ne pouvait être qu’une erreur, ce dieu maudit venait à présent lui prendre sa fille. La petite Aina tomba gravement malade, sans qu’aucun médecin n’arrive à déterminer l’origine et la nature de ce mal.
Alors que la petite peinait à survivre du haut de ses dix printemps, l’ancien militaire et chercheur se démena pour trouver un docteur capable de sauver son bébé.
C’est alors que Thaufhir se souvint du scientifique sous les ordres duquel il avait opéré par le passé. Il entama alors une quête bien plus difficile que prévu, en recherchant le second génie qu’il avait rencontré durant son service. Mais seul un mur de silence et de voie sans issue récompensa une recherche pourtant si légitime. Pourquoi la grande muette, l’armée faisait honneur à sa réputation en lui fermant toutes les portes dès qu’il prononçait ce nom. Depuis quand, celui devant lequel tous les hauts gradés courbaient l’échine, était-il devenu un fantôme, une erreur de syntaxe ?
Plus il avançait dans ses recherches, plus l’ingénieur s’éloignait des voies officielles, pour des chemins détournés de plus en plus ténébreux. Sans qu’il s’en rendre, lui-même faisait désormais l’objet d’une enquête comme s’il s’était transformé en ennemi de l’état. Et quand enfin, il trouva une piste réaliste et digne de ce nom, l’état de santé de sa fille s’aggravait tant sans pouvoir rien y faire, que son karma coupa sa course. L’armée lui avait pris sa famille ?
Maudit jour !.
Le 18 juillet 2036 fut celui où la dernière petite lumière disparu du regard disparu !..
- Soumis à approbation_Tara:
A la mort de sa fille, pour ne pas se perdre dans les abysses du désespoir, Thaufhir franchit une de ces limites que la logique lui avait toujours imposé, la psychanalyse.
Sans conviction, l’agriculteur se rendit dans le centre d’entraide psychologique à Montgomery qu’un ami lui avait conseiller.
Venant de cet ancien « sauvage » aux convictions biens ancrées dans le concret et le réalisme paysan se révélait être une garanti de sérieux.
Petit à petit, l’ingénieur se consacra pleinement à son travail, qu’il entrecoupait avec ses séances de partage d’expériences de vies au centre d’entraides.
Avec le temps et sa routine, il avait remonté en partie la pente, même si un flot de questions sur la permanence de sa souffrance ne trouvait jamais de réponses. Ou si, une seule, le travail était devenu son anti-douleur… Sans ces séances d’aide psychologique, le fermier aurait sans doute commis l’acte le plus stupide, celui qui lui aurait permis de rejoindre ses amours.
- Soumis à approbation_Mosquito:
Se transformant au fil du temps en « salary-man », il gagna l’unicité de ses priorités, il lui fallait excellé dans son travail pour justifier sa persistance à exister. Pour optimiser son activité, il lui fallait bénéficier de cartes satellitaires aux prises de vues sous différentes fréquences. Ultra contrôlé, l’accessibilité au satellite lui était constamment refusé.
Dès lors, il partit en quête de solutions. Il se rendit vite compte qu’une entreprise privée entravait ses recherches. Pourquoi la « boîte » que dirige un certain Christopher Kingsley lui refuse ce qui n’a rien de nuisible ou de dangereux ?
Kingsley… Kingsley…
Ce nom lui rappelait vaguement quelque chose sans pour autant déterminer quoi exactement.
D’un coup, ses sourcils se levèrent comme le fruit d’une illumination sur ce « nerd » de Princeton, raillé par ses potes de foot, mais qui n’avait rien à lui reprocher, voir même lui était-il redevable…
Déjà à cette époque, il avait eu raison, leur tête de turc aurait un jour tous les pouvoirs sur leurs vies et leurs avenirs !
Maintenant, comment contacter cette société ?...
Il doutait d’avoir marquer l’esprit de ce génie dont il avait garder le souvenir d’un ordinateur sur pattes sans émotions visibles. D’autant que l’actualité mondiale n’offrait qu’un sombre avenir et que toutes les organisations censées contrôler ces multinationales perdaient de plus en plus en influence.
Malheureusement, Thaufhir ne voyait aucun moyen d’interroger cet ancien camarade de classe.
Peu intéressé par ce qui ne concernait pas sa famille, Thaufhir avait juste ignoré de suivre l’évolution et les changements du monde. La situation de la civilisation humaine ne s’améliorait vraiment pas, bien au contraire. Sans avoir relié son aisance financière par l’augmentation de ses bénéfices agricoles, le fermier high-tech n’avait pas compris que le secteur alimentaire devenait le champ de bataille des puissants.
La faillite du système économique mondial avait depuis longtemps été prédit et ne fut donc pas pris pour prioritaire, laissant les condition de survivre se durcir sans laisser la moindre lueur d’espoir.
Alors que l’hiver 2037 tomba comme un repos salutaire pour ses terres, Thaufhir s’en était retourné dans sa ferme high-tech, il fut parmi les premiers à s’alarmer devant l’inaction des gouvernants sur les pénuries qui pointaient avec gravité un avenir sans vie. Il commença alors à associer son incapacité à accéder aux informations désirées à la volontiers de tiers à le cantonner à sa tâche, produire plus de ressources alimentaires.
Cependant, la lumière du combattant s’était éteinte avec la perte de sa famille. Seule et sans espoir, il n’avait aucune raison de se battre pour la survie de l’humanité.
Aucunes véritables raisons ne réveillaient en lui le désir de participer à la survivance humaine, surtout avec l’agacement de voir des privilégiés affichés leur bonheur et leur réussite.
- Soumis à approbation_Mosquito:
Toutefois, il n’était pas suffisamment isolé pour ne pas tomber sur les photos du couple phare de scientifiques à la pointe des recherches sur une réelle Intelligence Artificielle.
Apparemment, pendant que le fermier perdait tout ce qui lui était le plus cher, toute sa famille, son ancien condisciple s’ouvrait au bonheur. Une mimique de rancœur de ce bonheur injuste apparu sur le visage de l’ancien soldat. Le regard fusillait de mille balles cette femme pour que souffre autant que lui celui dont la société avait coûté tout contacte avec le potentiel sauveur de son trésor.
Peu de temps après, la WATERWAR explosait sur toute la surface de la planète dans une panique et une violence que nul n’avait anticipé. Remobilisé pour effectué ses années de réserves, son pays avait décidé pour lui de son futur.
C’est en cette même année 2038, que l’ingénieur s’était vu offert une nouvelle ferme ultra automatisé avec son système de recyclage à laquelle était rattaché un escadron de Marines pour la protéger des terroristes. Cette nouvelle exploitation utilisant les dernières technologies de productions agricoles, dotée du meilleur système de recyclage des matières premières et de gestion des déchets au taux d’efficacité proche de quatre-vingt huit pour cent.
Le gouvernement fédéral en était même venu à lui fournir tout un ensemble de machines et d’équipements hors de prix pour qu’il puisse améliorer encore son rendement et l’intelligence artificielle gérant la production.
Désormais, le fermier se dévouait totalement à son travail, il consacrait la totalité de son esprit à l’évolution de sa petite entreprise pour la rendre encore plus efficace. Ce fut donc l’unique raison qui conduit un modeste paysan de l’Arkansas a se risquer en Europe afin d’assister à une conférence sur les automatismes et les intelligences systèmes dont il voulait doter sa ferme.
Malgré tout, il gardait à l’esprit la volonté d’enquêter discrètement sur les instances gouvernementales et les multinationales qui leur étaient associées en profitant de ces conférences et des formations sur les dernières avancées scientifiques.
[spoiler="Soumis à approbation_Mosquito"]C’est durant l’une d’elle, qu’il rencontra l’épouse de Christopher dont les percées en logique système appliqué au processus d’intelligence artificielle autonome pourrait s’appliquer à l’automatisation . Impressionné par cette chercheuse, il comprit pourquoi le petit génie avait craqué pour cette beauté.
Mais il lui fut impossible de s’approcher d’eux. Il allait encore resté avec ces questions sans réponses
Deux années plus tard se produisit le retour de karma tant espérer du fermier, lorsque celui qu’il soupçonnait d’avoir entravé ses recherches perdit l’amour de sa vie.
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2040 _ Mort d’Abigail SUMMERS épouse de Christopher KINGSLEY
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